C'est de la « mauvaise herbe », un copain de Brel et Ferré - c'est un portraitiste d'exception aux mélodies décalée - un poète, qui chante Ronsard et Villon - un timide aussi, qui fredonne « sous un coin de parapluie ». Plus de deux cents chansons scandent cette ballade du temps jadis, menée par le parolier génial qu'était Brassens, l'éternel « polisson de la chanson ».