De qui Desproges peut-il bien avoir envie " rien que de voir à travers sa robe " ? Du Figeac 1971, son Saint-Emilion préféré, " plus long en bouche qu'une finale de Verdi ". Et Desproges n'a pas seulement le vin musical, il a aussi le fruit lyrique : " le rouge de la tomate a la flamboyance des couchers de soleil d'Istanbul ". Pour notre plus grand bonheur, il met sa causticité et son sens de la formule au service de la gastronomie dans ces chroniques culinaires : textes courts et efficaces comme des recettes, vins, femmes, cuisine italienne, un régal !