Alors qu'il se promène le long du rivage, Arthur entend un chant qui lui rappelle quelque chose d'ancré dans son coeur. Il navigue sans relâche contre vents et marées à la recherche de la créature marine au chant perdu. Lorsqu'il approche enfin de l'appel, il plonge dans les eaux sombres. Arthur et le triste narval se regardent dans les yeux. Tous deux, bien que différents, se comprennent instantanément. La solitude ne s'explique pas avec des mots : pour la vaincre, il suffit d'écouter son coeur.