«Ce texte, tu l'as écrit pour raconter en minuscule, au plus près de ce que tu as vécu et compris, le processus d'émancipation des femmes sur trois générations, dans une famille française ordinaire, et pour évoquer toujours en minuscule le lien complexe entre les filles et leur mère, un lien qui te semble aussi solide, clair et doux que liquide, sombre et violent et où la grand-mère, qui est aussi la mère de la mère, desserre parfois les noeuds, adoucissant le vertige du face-à-face.»