C'est à l'issue d'un débat quelque peu mouvementé avec mon beau-père qui affirmait «ne pas croire à la finitude des ressources» que la nécessité d'aiguiser mes arguments sur les questions écologiques m'est apparue essentielle. Car tout ce que je pouvais lire, écouter ou visionner sur le sujet était en vrac dans ma tête : les chiffres parcellaires et les sources imprécises. Il fallait donc que je prenne des notes et que je structure ma pensée dans un guide pour piocher au moment opportun des arguments pertinents.