Prendre quelques éoliennes, un ou deux Tchétchènes, un gendarme et un transgenre, ajouter un écrivain fatigué et un parc régional menacé. Bien mélanger et faire cuire le tout aux énergies fossiles. À déguster par tous ceux qui, à l'instar du Prince Mychkine dans L'Idiot, restent convaincus, en dépit du bon sens, que seule la beauté sauvera le monde.