En cette fin des temps d'abondance et d'insouciance, même si l'on est hyper éco-anxieux comme Fioretto, les raisons de se réjouir ne manquent pas : la frugalité est plus joyeuse, les genres plus fluides, le monde plus virtuel, l'écriture plus inclusive, l'intelligence plus artificielle, l'effondrement plus constructif...