Quelques portraits brossés « sur le vif » de personnes résidant en maison de repos. Hommes, femmes, tou·tes anonymes. Les bribes de conversations et instants volés font apparaître en filigrane des vies « suspendues », la lenteur du temps qui passe, le manque de temps et de disponibilité des personnes actives, la nostalgie du temps passé, le souhait d'indépendance, le sentiment d'oubli et d'incompréhension, le besoin de liberté là où iels se sentent difficilement chez eux·ellesOn pourra voir dans chaque portrait une personne différente ou, au contraire, suivre ici et là le fil rouge de Bonne-Maman.