Sur Internet, la célèbre comptine « Cerf, cerf, ouvre-moi, ou le chasseur me tuera » semble une source inépuisable de variations, tantôt tragiques, tantôt comiques.mais ouf, l'illustration qu'en donne Jutta Bauer est tout simplement la plus belle ! Dans une forêt lumineuse, aux couleurs d'automne, puis d'hiver, puis de printemps, les animaux trouvent refuge l'un après l'autre dans la cabane du cerf. Et quand c'est le chasseur qui vient pleurer misère et crier famine, sans cynisme aucun, sans malice, il est accueilli à son tour.