« Après avoir fait la mine, marqué une hésitation, Michel m'embaucha pour les foins. Vingt francs par jour, non nourri. Je me récriai, mais il pouvait, dit-il, trouver avec la crise des tas de types en bas qui seraient contents de travailler pour le prix qu'il m'offrait. Avec dix francs en poche et les difficultés que j'avais connues en bas je n'avais pas le choix, j'acceptai. » « En faisant les foins », « L'usine », « Chantier en montagne », « Peinture en bâtiment », « Matin de vendanges », « Les cerises », « Retour à l'usine »... Dix chapitres de l'une des grandes oeuvres de la littérature prolétarienne : Travaux.