« Lire Philippe Claudel ne laisse jamais indemne. L'écriture vous attrape, vous accroche, une atmosphère s'installe, d'abord familière, enfin c'est ce que vous croyez, puis elle vous plonge dans un bain d'inconfort. Une étrangeté vous saisit. Les mots se retournent, se dressent, mordent. Vous voilà mal à l'aise.C'est de la fiction ? Oui, assurément. Mais si vraie que vous en restez le souffle court, coeur battant. [...] Ordonnés selon les souhaits de -l'auteur, certains inédits, la -plupart parus dans Le 1 et dans Zadig, ces textes finissent par composer le portrait intime et décapant de notre époque. » Éric Fottorino Directeur de l'hebdomadaire Le 1