Un regard en coin qui fait naître un sourire narquois, un sourire narquois qui entraîne un mot méchant, un mot méchant qui crée une bousculade, une bousculade qui provoque une gifle, une gifle qui fait jaillir un couteau... Et la violence jaillit. Dans le cercle de la violence, on est comme dans un tourbillon, entraîné, incapable de faire un pas de côté, de s'en sortir seul. Un seul moyen pour ne pas être aspiré par le tourbillon de la violence: ne pas y entrer.Les Goûters philo, ma collection pour aborder les grandes questions de la vie, dès 8 ansWww.lesgoutersphilo.com: un site complet dédié aux enseignants pour parler philo en classe et à la maison.