Cette nouvelle, en forme de conte, appelle à rêver de l'enchantement d'un monde où la ville retrouverait les arbres qui lui ont fait place. Elle peut également être lue comme un manifeste politique qui évoque des solutions concrètes pour les cités de demain. L'arbre au coeur de la ville a cédé sa place aux voitures, au bitume. En disparaissant, c'est l'espace de déploiement du lien social qui disparaît. Un maire s'insurge contre ce phénomène d'isolement de sa population et plante des arbres.