Ce qu'on regarde au fond de ce grand bâtiment aux dentelles, immense édifice de silence humain où sont attachés des vigiles serrés sur la gâchette, ce qu'on regarde se démêler dans la marche sauvage des machines, ces corps qui se confondent au mouvement invariable des pédales, ce n'est pas un clin d'oeil à la transe mais l'usine qui se régale.