« Zweig ne donne sa voix qu'aux vaincus, qu'aux fragiles, qu'aux passionnés sans issue. Il ne traque jamais la grandeur. Surpris, divisés, inquiets, ses personnages s'éloignent des héros : au contraire des figures hugoliennes, ils n'incarnent pas une force qui va, mais une faiblesse qui piétine... Qui, dans toute la littérature mondiale, a brossé des êtres plus proches de nous? » Éric-Emmanuel Schmitt, extrait de la préface.