« L'amour a fait naufrage. À Paris, sous les toits, la narratrice grave son calendrier comme Crusoé. Elle échafaude aussi d'audacieuses architectures de petites cuillers. Dans son hamac, elle accueille enfants ou amants, échos du dehors, rêves ou cauchemars du dedans. Ce livre est son journal doux-amer, tissant auto et surfiction, réalisme magique, calligrammes et contes cruels, il s'adresse à celui/celle qui le lira peut-être (dis, tu es là ?). Rien ne s'efface, tout s'entrechoque au fil de quatre saisons plus une : quinze ans après, tout a changé. Mais le temps est circulaire et farceur... » N.L.C.