2086. Les derniers êtres humains contemplent les ruines de l'humanité. Les guerres ont cessé. La soif et la faim ont disparu. Les monstres que l'homme avait créés ont peu à peu déserté la surface du globe. Fallait-il une si grande destruction pour que l'on puisse de nouveau s'émouvoir devant la simple beauté d'une rose?Faudra-t-il que l'homme meure pour qu'il mesure la grandeur de ce qu'il a été?