Voici un roman sur la guerre en Syrie. Avec ses folies, ses désarrois, ses désespoirs. « Une guerre, écrit l'auteur, que les chroniqueurs qualifiaient déjà comme la plus barbare et la plus meurtrière de tous les temps ».Le narrateur, quant à lui, est chargé de visionner les courts-métrages de cette guerre, à la demande de Peter Highland, réalisateur de films historiques. La raison ? Créer une toile de fond faite d'images cruelles et absurdes et destinée à structurer une histoire que celui-ci a trouvée dans un roman intitulé ALEP MON AMOUR, d'un auteur inconnuEt, tout à coup, passe, sous les yeux du journaliste, « une image essentielle », même si elle est floue et qu'il l'a à peine aperçue. C'est l'image d'un « enfant plein de larmes ». Du coup, revient en force à son esprit sa propre enfance, l'abandon dont il fut victime et ce qu'il advint de lui, le Syrien, jusqu'à son arrivée à Londres...