«Le métier de peintre tient de l'alchimie. Ecoute et regarde car il ne s'apprend que de bouche à oreille, de maître à élève. Tout cela pour disposer d'une belle matière sans laquelle il ne peut y avoir de bonne peinture.» A dos de mule, à l'aube de la Renaissance, un jeune peintre italien s'en fut jusqu'à Bruges recueillir le secret d'une lumière nouvelle. C'était Antonello de Messine. Un peu plus tard, Laurent «le Magnifique» règne sur Florence. Autour de lui, des premiers pas - et premières esquisses - se font remarquer. Où l'on retrouve Botticelli, Michel-Ange, Raphaël, Léonard de Vinci... Jean Diwo pousse ici délicatement les portes des ateliers les plus prestigieux pour nous conter l'histoire des acteurs d'un temps unique : celui où la Joconde parlait.